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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 21:24
  Ce jour , jai vu ma psy et lui ai raconté mon reve de la nuit :
  j etais avec un ami avec lequel je suis parti en 1978 a paris y abimer ma jeunesse
  et nous nous retrouvions de nos jours.
  il me proposait de manger un gateau aux fraises , mais le gateau datait de 1978 !!
  le gateau avait l air neuf mais moi, je jette les yaourts 2 jours avant la date de peremption.
  j avais demandé auparavant a ma psy si elle connaissait l histoire du vase de Soisson.
  car dans mon reve ,le gateau , c etait un peu le gateau de  Soisson. Elle ne m a pas repondu
 mais m a fait remarquer que l autre jour, je lui ai demandé si elle connaissait Ste Thérese de Lisieux,
et que  je lui demandait regulierement quel etait son vrai nom a elle, car elle a un nom composé et plusieurs prenoms.Bref elle m a suggéré que j avais trop besoin de savoir ce qui  se passait dans la tete des autres et c est ca qui nuisait a mon  fonctionnement social ( ou quelque chose d approchant, vu que j etais en train de mordre son bureau , je ne me souviens plus tres bien)
Il faut dire que j ai passé une bonne partie de la nuit a essayer de me souvenir du nom de l homme qui a  gaché ma vie : Evariste Gallois.
Cet homme a inventé les maths modernes  et  est mort a l age de vingt ans au cours d un duel  dans les années 1830. Malheureusement , en veritable genie qu il etait , la nuit precedant son duel, il a compris qu il allait mourir, et il a passé toute la nuit a rediger son testament mathematique en repetant constament  "je vais pas avoir le temps !!" Hélas il l a eu.
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commentaires

S
Alors, je cite - le dernier paragraphe est amusant :<br /> <br /> <br /> <br /> Evariste Gallois (né le 25 octobre 1811) est un génie mathématique inventeur, entre sa dix-septième et sa vingtième année, de l’algèbre moderne en développant la théorie de résolution possible ou non des équations d’un degré supérieur à cinq. Il aura un destin tragique marqué par la rébellion contre l’autorité et l’incompréhension de ses maîtres.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Entré à 13 ans en 4ième au Lycée Louis Le Grand il se fait remarquer par son désintérêt pour le travail scolaire et son indiscipline malgré des dons d’écriture évidents. Il ne s’intéresse qu’aux mathématiques. «Cet élève a une supériorité marquée sur tous ses condisciples; il ne travaille qu'aux parties supérieures des mathématiques» dira un de ses professeurs. <br /> Mais d’autres écriront : « Sa facilité ne parait plus qu'une légende à laquelle on cessera bientôt de croire; - il n'y a trace dans les devoirs, quand il daigne en faire, que de bizarrerie et de négligence; - il est toujours occupé de ce qu'il ne faut pas faire, il l'affecte même; - il prend à tâche de fatiguer ses maîtres par une dissipation incessante; - il baisse tous les jours. Il perd son temps ici et n'y fait que tourmenter ses maîtres et se faire accabler de punitions». <br /> A dix-huit ans il publie son premier mémoire: démonstration d'un théorème sur les fractions continues périodiques, et aussitôt après confie au mathématicien Cauchy une première communication à faire à l'Académie des Sciences. Cauchy perd le manuscrit. Il échoue une première fois au concours d'entrée à l'Ecole Polytechnique. S'y présentant à nouveau, il s'y trouve en butte à l'incompréhension de ses examinateurs, et jugeant une question insignifiante, refuse d’y répondre et est ajourné une nouvelle fois. <br /> Entré à défaut à l’Ecole Normale Supérieure (appelée à l’époque l’Ecole préparatoire), on propose l'ensemble de ses recherches pour le concours du Grand Prix de mathématiques de l'Académie des sciences, dont le secrétaire perpétuel, Fourrier, meurt avant de l'avoir examiné. Une fois de plus, le manuscrit est perdu. <br /> Il s’engage dans une action politique révolutionnaire, fait de la prison, s’éprend d’une jeune fille et meurt des suites d’un duel au pistolet avec un rival à 20 ans (le 31 mai 1832). Avant ce duel il avait réunis sur quelques feuillets les bases de son travail mathématique qui ne sera re-découvert et compris que 18 ans plus tard.<br /> Ce destin tragique est peut-être à mettre en relation une névrose de caractère sévère qui a motivé son opposition à toute autorité et une mise en danger suicidaire. Eduqué et enseigné par sa mère jusqu’à l’âge de treize ans, ses capacités intellectuelles hors du commun ont peut-être eu une dimension incestueuse inconsciente qui expliquerait ses tendances suicidaires et le choix de s’engager dans un duel contre un rival amoureux, peu de temps après le suicide de son propre père.<br />  <br /> Mais ce que je ne comprends pas bien c'est pourquoi il a gaché ta vie ??
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L
je commenterai le vase de soisson ulterieurement je doit auparavant aller sur gougeul taper vase de soisson et esperer y trouver un bref resume
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L
ton malheur a fait mon bonheur.j ai aimee ça aujourdhui encore en quelques secondes je peux sciement voir au combien on se fait enfler constament par les chiffres et ceux qui les manipulent.par contre le c.....qui a invente l orthographe il meurt quand?
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S
la gourmandise est elle un vilain defaut?
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J
Je connais des gens qui fréquente ce blog et qui vont aimer le vase de poisson
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